Le nouveau journal romand Micro tire sa révérence C'est avec beaucoup de regrets que nous devons vous apprendre que Micro cessera sa publication à partir du 31 mai prochain. «Tout être vivant a droit à ce bien-être» TEXTES ET PHOTOS: Samantha LunderNous avons suivi une ostéopathe animalière pendant sa matinée de consultations. «Le ramoneur plein de suie? C'est fini!» TEXTES ET PHOTOS: Samantha LunderEn 2020, on utilise l'expression "immaculé comme un ramoneur". «Il faut construire un récit familial différent» TEXTES ET PHOTOS: Samantha LunderLorsque des parents se séparent, comment gérer cette situation face aux enfants? Notre interview sur ce thème. «On prend soin de la forêt» Textes : Fabien Feissli Photos : Joël OverneyFrédéric Mugny, Adrien Clément et Sébastien Clément pratiquent l’une des professions les plus dangereuses du monde, ils sont forestiers-bûcherons.Ce jour-là, les trois hommes étaient en plein abattage d’une quinzaine d’épicéas près de Cottens. Leur objectif: faire de la place pour permettre aux plantes plus jeunes de grandir.Tous les trois passionnés par la nature, ils regrettent la mauvaise image dont souffre parfois leur métier. S’ils abattent des arbres, ce n’est pas pour «casser la forêt», mais pour la sauvegarder. Le café-crème du 30.05.2020 Paru dans La Torche www.latorche.chNos dessinateurs croquent l'actu suisse et mondiale.En partenariat avec le média satirique www.latorche.ch «C’est le fil qui les maintient en vie» Textes: Fabien Feissli Photos: Christian BonzonChaque semaine, une cinquantaine de personnes atteintes d’insuffisance rénale terminale passent trois demi-journées au service de dialyse des Hôpitaux universitaires de Genève.Là, leur sang est filtré par une machine pour en évacuer les impuretés et le liquide excessif. Si ce processus les maintient en vie, il se révèle particulièrement éprouvant physiquement, mais aussi socialement.La dialyse réduit, par exemple, fortement leur capacité à exercer un métier. Pour avancer, la plupart des patients sont en attente d’une greffe, une démarche qui prend plusieurs années. «La musique, c’est ce qui compte le plus» Textes: Fabien Feissli Photos: Sébastien BovyCréée il y a deux ans, l’association à but non lucratif Swiss Artists Production souhaite venir en aide aux chanteurs romands pour leur permettre de vivre de leur passion.Pour cela, la structure recherche des mécènes et des partenaires acceptant de soutenir ses poulains. Car, à cause des plateformes de streaming, la vente de chansons ne rapporte pratiquement plus rien.Afin d’accompagner au mieux leurs artistes, Bob Arnedo et Michel Galone, les deux cofondateurs, se sont entourés de toutes les compétences, des spécialistes en réseaux sociaux à la coach sportive. «Il ne faut pas diaboliser les machines» Textes: Fabien Feissli Photos: Bernard PythonSpécialiste des interactions homme-machine, Denis Lalanne nous a reçus pour décrypter notre rapport ambivalent aux robots et de la place de plus en plus prépondérante qu’ils prennent dans notre quotidien.Aux yeux du quadragénaire, les machines sont une opportunité pour notre société. Bien utilisées, elles peuvent nous permettre d’évoluer de manière positive dans de nombreux domaines.Pour autant, celui qui dirige le centre de recherche Human-IST de l’Université de Fribourg invite à mettre en place différentes mesures afin de contrôler leur développement futur. «On est les gardiens du cadastre» Textes: Fabien Feissli Photos: Joël OverneyAvec leur théodolite, un drôle d’appareil pouvant faire penser à un radar ou à un appareil photo, les géomètres de la société Geosud intriguent souvent dans la rue. Pourtant, du maçon au notaire en passant par l’architecte, de très nombreuses professions ont recours aux services de ces rois de la trigonométrie. Que ce soit pour délimiter une propriété ou pour positionner un futur bâtiment, ils doivent toujours faire preuve de la plus grande précision. Ce jour-là, c’est une entreprise de construction qui voulait savoir où placer sa grue. La femme qui parle aux bébés Textes et photos: Samantha LunderChantal Rochat exerce depuis de longues années auprès de nouveaux-nés, bébés, enfants et adolescents pour soulager leurs bobos par une médecine alternative.Elle-même peine parfois à expliquer cette connexion qui se crée entre elle et ses petits patients: entre manipulations légères, énergies, soins avec de la lumière et discussions, elle arrive à dénouer toutes sortes de situations autant physiques qu'émotionnelles.Lors de notre rencontre, elle a reçu un petit de quelques jours seulement, souffrant de coliques. Très tendu en arrivant, son visage était totalement apaisé à la fin de la thérapie. «Le lieu le plus risqué, c’est chez soi» Textes: Fabien Feissli Photos: Bernard PythonAncien juge d’instruction, André Kuhn enseigne désormais la criminologie et le droit pénal aux Universités de Neuchâtel et de Genève.Observateur privilégié de la criminalité en Suisse, le quinquagénaire décrypte le fonctionnement d’un phénomène qu’il juge impossible à éradiquer. À ses yeux, le premier responsable de la délinquance, c’est le Code pénal.Le spécialiste souligne que la société n’a jamais été aussi sûre qu’aujourd’hui. Une situation dont le grand public n’a pas forcément conscience. «La transition a été une renaissance! Ça m’a libéré!» Textes et photos: Lauren von BeustEn Suisse, s’il n’existe pas de statistiques officielles, une enquête de la Schweiz am Wochenende révélait, l’an dernier, que les enfants qui rejettent leur genre biologique seraient de plus en plus jeunes.Elyo, 28 ans, est transgenre. Né dans un corps de femme, il ne s’est pourtant jamais senti à l’aise avec le genre féminin. Depuis une année, ce Genevois prend des hormones pour “être homme”, mais a gardé son sexe de naissance.De nature timide et introverti, il souhaite que la population soit mieux informée sur la transidentité. Un moyen, selon lui, de promouvoir la tolérance. “La cartophilie nous apprend énormément de choses” Textes: Trinidad Barleycorn Photos: Gennaro ScottiLes membres de la Société romande de cartophilie, fondée il y a 41 ans à Lausanne, se réunissent une fois par mois à Pully (VD) pour échanger ou acheter des cartes postales. Le président de la société Jacques Rosset possède une collection de plus de 10000 cartes représentant principalement le district de son enfance, Cossonay, ainsi que Lausanne. Sa passion lui a fait découvrir l’histoire de ces agglomérations dans leurs moindres détails. «Il faut avoir une voix complice» Textes: Fabien Feissli Photos: Christian BonzonDepuis près de 20 ans, le studio Masé se spécialise dans le son pour le cinéma ou la télévision. Cela va du bruitage au doublage en passant par l’audiodescription.Justement, ce jour-là, Evelyne Bouvier, directrice artistique, planchait sur la saison deux de la série «Quartier des banques». Son objectif: raconter tout ce qu’il se passe à l’écran, notamment pour les personnes malvoyantes.Une mission qui demande de la précision, mais qui force également à faire des choix afin de réussir à caler le maximum d’informations sans empiéter sur les dialogues. «Il y a une partie de chance dans chaque violon» Textes et photos: Samantha LunderDans cet atelier de Serrières, des violons et violoncelles prennent vie entre les mains du Neuchâtelois Philippe Girardin et de la Cubaine Monica Fortin, deux luthiers passionnés par leur métier, qui ne cesse de leur lancer de nouveaux défis.Au rez-de-chaussée de la maison, le duo fabrique de A à Z ces instruments. Ils sont ensuite essentiellement vendus à des jeunes ou à des professionnels.Pour les vendre, en Suisse ou à l’étranger, ils sont épaulés par Alan Petermann, qui voyage à travers le monde pour commercialiser des instruments de prestige. «Il faut donner de la place à la jeunesse» Textes: Fabien Feissli Photos: Isabelle FavreRespectivement pédopsychiatre et psychologue spécialisée, Razvana Stanciu et Sidonie Alt nous ont reçus pour décrypter la jeunesse romande.Si les trentenaires assurent que la génération actuelle n’est pas fondamentalement différente des précédentes, elles soulignent les défis auxquels elle doit faire face.Au cours de cette période tumultueuse, les parents sont mis à rude épreuve. Les deux spécialistes les invitent à rester fidèles à eux-mêmes tout en étant capables de faire preuve d’écoute envers leur progéniture. Le café-crème du 14.03.2020 «Vous êtes Suisse, vous coûtez trop cher» Textes: Samantha Lunder Photos: Anaïs Lou Elles font la peau aux tatouages Textes: Fabien Feissli Photos: José FangueiroDepuis plus de quinze ans, les centres Laser Beauté Med proposent à leurs patients de faire disparaître leurs tatouages. Pour cela, un laser va défragmenter les pigments colorés, qui seront, ensuite, éliminés par le corps.À cause du délai entre chaque séance, l’effacement complet, qui n’est pas sans douleur, exige beaucoup de patience et coûte, souvent, plus cher que le tatouage lui-même.Soirée trop arrosée, couple qui se sépare, erreur de jeunesse ou motifs qui s’abîment, les raisons pour ne plus vouloir d’un tatouage sont très variées. Un bouquin ne meurt jamais Textes: Samantha Lunder Photos: Bernard PythonOlivier Molleyres a repris, il y a cinq ans, l’atelier de reliure artisanale, au centre de la vieille ville de Neuchâtel, où il a suivi son apprentissage des années auparavant.Avec ses machines à l’ancienne, il a conservé tout le savoir-faire de l’époque: il n’imprime pas, mais relie des ouvrages qu’on lui apporte, pour l’État, l’Université ou des privés.Aujourd’hui, il souhaite faire évoluer son métier, en le mettant davantage en lumière. Car, avec l’apparition de la numérisation, les commandes diminuent. Carrière: «Il faut s'enlever la pression de réussir du premier coup» Textes et photos: Samantha LunderQue l’on soit un jeune en quête du job idéal ou d’un âge plus avancé avec un parcours de vie déjà entamé, on peut à tout moment ressentir le besoin de réfléchir à son avenir professionnel.Sophie Voillat est cheffe du secteur post-obligatoire de l’Orientation professionnelle du canton de Fribourg. Elle nous parle des défis auxquels sont confrontés les gens à la recherche d’une nouvelle voie.Elle met en lumière notamment le fait qu’il est devenu totalement normal de passer par plusieurs emplois différents au cours de son existence. Le café-crème du 07.03.2020 Paru dans La Torche www.latorche.chNos dessinateurs croquent l'actu suisse et mondiale.En partenariat avec le média satirique www.latorche.ch Le micro est à Ariane Nicollier Textes et photos: Samantha Lunder Choix de la rédaction«C’est le fil qui les maintient en vie»«C’est le fil qui les maintient en vie»Textes: Fabien Feissli Photos: Christian BonzonDans la garde-robe de l'opéraDans la garde-robe de l'opéraTextes: Fabien Feissli Photos: Jean-Guy Python«Sans Internet, on est coincé dans notre sociét黫Sans Internet, on est coincé dans notre société»Textes: Fabien Feissli Photos: Bernard Python«Ne pas subir la dictature des réseaux sociaux»«Ne pas subir la dictature des réseaux sociaux»Texte: Fabien Feissli Photos: Sébastien Bovy«Je chante pour rendre hommage à Elvis»«Je chante pour rendre hommage à Elvis»Textes: Trinidad Barleycorn Photos: Aldo ElenaLes plus lusArticlesArticles«Emmener le patient dans notre bulle»«Emmener le patient dans notre bulle»Textes et photos: Samantha Lunder«On se demande tous comment il fait»«On se demande tous comment il fait»Textes: Fabien Feissli Photos: Muriel Antille«Trop d’agriculteurs ne veulent pas laisser la place aux jeunes»«Trop d’agriculteurs ne veulent pas laisser la place aux jeunes»Textes : Fabien Feissli Photos : Georges Henz La dernière dusamedi 30 mai 2020 Prochaine séanceVous invite àsa séance derédaction:Retrouvez la date de la prochaine ici bientôt! 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