Vaud


 Un très horrible anniversaire !

Surtout, n’y allez pas! Ce samedi, ces vantards de chez «Vigousse» célèbrent leurs 10 ans au Théâtre Benno-Besson d’Yverdon. Pour vous appâter, le petit satirique romand a sorti les gros moyens: à boire, à manger, des humoristes, un magicien et des chanteurs. Et, bien entendu, toute la rédaction sera présente. Mais, on vous rassure, il devrait aussi y avoir des gens marrants..

«Vigousse 10 ans déjà», Théâtre Benno-Besson,
Yverdon | 16 novembre à 19h | 80 frs. | vigousse.ch

Genève


 Il n’y a pas de saison pour migrer

Durant le mois de novembre, la Cité de Calvin rend hommage aux travailleurs immigrés qui ont contribué à l’essor de la Suisse au XXe siècle. «Des dizaines de milliers de saisonniers et de saisonnières ont contribué à construire de grandes infrastructures du canton, d’imposants bâtiments de la Genève internationale et participé à l’expansion de l’hôtellerie-restauration et de l’agriculture», soulignent les organisateurs. Une initiative louable qui cherche également à faire évoluer le regard des Helvètes sur les migrations actuelles. Et, là, il y a du boulot.

«Nous, saisonniers, saisonnières», Espaces d’exposition
Le Commun, Genève | Jusqu’au 24 novembre | entrée libre
expo-saisonniers.ch

Jura


 Mâche attack

Voici un titre de conférence qui fait flipper: «Les plantes envahissantes, quelle menace pour notre environnement?» Ce mercredi soir, Marc-André Thiébaud, ancien conservateur du Jardin botanique de Genève, s’alarme de l’apparition massive de nouvelles espèces «d’une extrême densité et d’une extrême agressivité.» Un exposé qui vise à nous faire pénétrer «dans le monde impitoyable des plantes envahissantes». Pour sauver la planète, une seule solution: organiser une Saint-Martin où il faut manger du topinambour et de la salade.

«Les plantes envahissantes, quelle menace pour notre environnement?», Collège Thurmann, Porrentruy | 20 novembre | 10 frs. | unine.ch

Neuchâtel


 Soufflez dans le ballon, monsieur

À chacun ses hobbies. Et cette rubrique nous a déjà permis de nous rendre compte que certains ont des passions bizarres. Mais, avec Laurent Bigot, on tient un champion. Dans son spectacle «D’un air instable», le Français utilise deux compresseurs pour faire chanter tout un tas d’objets: des ballons de baudruche, des bouteilles en verre et en plastique, des canettes et des tuyaux. Loin de nous l’idée de nous moquer, mais, là, on se sent quand même obligés de vous mettre en garde: ça couine, ça grince, on dirait la bande-son d’un film d’horreur. Bonne nouvelle toutefois, cela ne dure que 30 minutes.

«D’un air instable», Centre de culture ABC, La Chaux-de-Fonds
15-16 novembre | 25 frs. | festival-marionettes.ch

Valais


 Vache à lait

«Le Suisse trait sa vache et vit paisiblement?» Le titre du spectacle réalisé par Isabelle-Loyse Gremaud joue volontairement sur les clichés. La pièce, basée sur des témoignages d’agriculteurs romands, interroge sur notre rapport à l’alimentation et à ceux qui nous nourrissent. Un chiffre pour illustrer la situation: aujourd’hui, le ménage moyen consacre à peine plus de 6% de son budget à son alimentation. Contre près de 50% il y a cent ans. Pouvons-nous encore nous regarder au fond de notre assiette?

«Le Suisse trait sa vache et vit paisiblement?», Théâtre du Raccot, Malévoz | du 14 au 16 novembre | 35 frs. | crochetan.ch

Fribourg


 Patrick Bruel à la Tour-de-Trême

Ce week-end, la salle CO2 accueille la célèbre pièce de théâtre «Le prénom». Hilarante, celle-ci avait notamment été adaptée au cinéma en 2012. Mais pas la peine de vous époumoner, Patriiiiick, qui interprétait le rôle principal, ne sera pas présent. À sa place, vous retrouverez les comédiens Florent Peyre et Jonathan Lambert. Ils auront la lourde tâche de se faire un prénom!

«Le Prénom», Salle CO2, La Tour-de-Trême | 16 novembre à 20h30 | 65 frs. | co2-spectacle.ch

Berne


 <span style="color: #333333; font-size: 26px; font-weight: bold;"L'or des fous

Quand le rêve tourne au cauchemar. Un soir, Bruno et Laurence trouvent un billet de 100 euros dans leur salon. Puis deux, puis des dizaines. Bientôt, des liasses entières de grosses coupures envahissent leur appartement, comme par magie. Une manne inattendue qui vient raviver les frustrations et les divergences du couple. Jusqu’à les rendre fous. Donnez-nous l’adresse, on vient volontiers les débarrasser.

«Comme s’il en pleuvait», Théâtre de l’Atelier, Reconvilier | 16-17 novembre | 20 frs. | theatre-atelier.ch